Bruce, le héros du premier film, a retrouvé sa maman après de nombreuses recherches. Sa génitrice n’est personne d’autre qu’une ancienne femme de ménage, celle de son pote Eddie. Tel est le scénario. On ne réécrira pas l’histoire et l’on ne cherchera pas le degré de crédibilité de cette comédie libertine, qui échappe à l’incident diplomatique. Bruce n’a pas couché avec sa mère, en revanche son meilleur pote lui présente ses excuses. Il a visiblement abusé de son pouvoir de patron auprès de la quinquagénaire peu farouche.