Deux univers sont en jeu. Le monde intérieur, fermé, quasi en vase clos avec comme seul moyen ténu et fragile de (re)joindre l'autre : le téléphone. Le monde extérieur, l'autre univers, permet de se déplacer d'un lieu fermé à un autre, on ne fait que le traverser. Perdre la voix à s'appeler. Vertige des voix absentes. Téléphone et répondeurs : machines machiavéliques. L'attente en vain.